Notez les Derniers Films Vus (partie III)

[Rapoutzi]

"Lucky Luke"



Théoriquement l'histoire de Lucky luke.

Je l'ai loué pour mes filles. Je me suis marré un peu au début puis, lorsque ça a voulu se prendre au sérieux, plus du tout.

Heureusement, mes filles ont aimé.

John

[le loup celeste]

Goemon, the Freedom Fighter de Kazuaki Kiriya:

Ishikawa Goemon met la main sur un objet secret, ce qui provoque la colère du sanguinaire Toyotomi Hideyoshi. Sa tête mise à prix, le voleur virtuose va rapidement se retrouver au centre d'un écheveau de vengeances et de complots...

Cinq ans après le très remarqué "Casshern", Kazuaki Kiriya (à la fois réalisateur, scénariste, producteur, directeur de la photographie et monteur !) revient avec "Goemon, the Freedom Fighter", un spectacle de tous les instants véritablement éblouissant.

En plus d'être une expérience visuelle renversante (une composition des plans fantastique et une audace visuelle inimaginable aidée par des SFX réussis dans l'ensemble), "Goemon, the Freedom Fighter" nous embarque dans une grande aventure lyrique et trépidante où les personnages sont attachants et prennent le temps d'exister. Les acteurs sont charismatiques (le très touchant Takao Osawa et le physique Yôsuke Eguchi), la sublime Bande Originale est symbolique, les nombreuses scènes d'actions incroyablement dynamiques sont dignes des meilleurs mangas et je ne parle même pas des deux dernières séquences d'un gigantisme proprement hallucinant.

Au final, "Goemon, the Freedom Fighter" est une oeuvre hors normes d'une ampleur visuelle inédite où les faramineuses scènes d'actions ont autant leur place que le captivant scénario. Tout simplement le manga live ultime.

*****

Critique complète...http://www.leloupceleste.fr/article-goemon-the-freedom-fighter-46892859.html

[karyboue]

Departures" Oscar 2009 du meilleur film etranger :
drole (humour japonais), émouvant et gracieux. Aussi bien dans le jeu deux acteurs fantastiques que la camera entre parfois exagération type manga pour l'humour absurde, lascive poésie ou encore tristesse et mélancolie. On est traversé par tous les sentiments.

Par moment c'est même extraordinaire de beauté : les embaumements des morts devant la famille comme le veut la tradition shintoiste semblent être de la danse ... MERVEILLEUX !

Surement mon meilleur visionnage depuis longtemps. Quel bijou !

[SONTRACTEUR]

AMER de Hélène Cattet et Bruno Forzani

Pas facile de voir ce film, au propre comme au figuré : c'est du cinéma expérimental et il ne passe plus que dans une salle à Paris, et pas tout le temps.

"L'expérimentation" dans ce film tient au principe d'avoir enlevé tout dialogue, toute histoire "racontée", pour ne laisser que des sensations visuelles et auditives constitutives d'un certain cinéma de genre : le giallo par exemple, auquel il emprunte beaucoup, le fantastique aussi et le gore. Cela donne un mix de sons et d'images toutes issues des cinémas précités : portes qui grincent, parquets qui craquent, gros plans macro sur les yeux, les visages, des bruits de souffle, des apparitions incompréhensibles. On voit quelques hommages appuyés des films de Dario Argento.

Le film se divise en 3 périodes de la vie d'une femme, Anna.
Elle est d'abord enfant. Elle vit dans une grande maison qu'on imagine dans le sud de la France au bord de la mer. Il y a ses deux parents qui se disputent, un mort qu'il faut veiller, une vieille servante semblable à une sorcière. Cette partie est la plus réussie, car on entre bien dans les fantasmes de la gamine et on se laisse prendre au jeu des images suggestives de la frayeur enfantine.
Puis il y a la période de l'adolescence d'un érotisme à la fois torride et désincarné tellement il est esthétisé. La jeune fille ressemble à s'y méprendre à celle "d'une vraie jeune fille" de Catherine BREILLAT (si vous voyez ce que je veux dire...)
Et enfin l'age adulte où Anna revient dans sa maison d'enfance. Cette partie est la plus cryptique, mais c'est le grand jeu de la névrose et de la schizophrénie qui se termine par une découpe au rasoir digne des grands films gore.

C'est du cinéma expérimental et il en faut.

[poilau]

Moi je trouve que dans l'ensemble, il évite bien les clichés. Et puis l'assistante sociale, elle est quand même pas un personnage accessoire! et si elle appartient pas à la classe moyenne, à laquelle alors?
L'immense cohorte des classes moyennes, elle ne vit pas à Paris, mais dans la banlieue. Justement, il aurait été peu crédible de montrer la vie de salariés moyens à Paris. Les salariés, ils bossent seulement à Paris. Et c'est ce que Klapisch montre dans son film. Enfin bref. Moi je trouve qu'il a trouvé un juste milieu tout-à-fait défendable.

Non Paris justement est peuplé de célibataires de 25/35 ans, avec un pouvoir d'achat plutôt au-dessus de la moyenne, mais vivant dans des cages à lapin . Les classes plus populaires avec enfants tu les retrouves à partir de la seconde couronne (c'est flagrant quand tu vas y faire tes courses le samedi, y a que des familles). Bon et puis pour les vendeurs de Rungis, sous leurs faux airs de SDF depuis qu'on sait tous grâce à Kolian combien ils se font par mois ( ), on peut plus appeler ça des classes populaires

[Rapoutzi]

"2012"



L'histoire moderne du déluge.

Il est certain qu'en BR 24p DTS, c'est du pur bonheur. Après, le soucis devient que trop de catastrophes tue la catastrophe et qu'on s'habitue vite aux effets spéciaux.
Malgré tout, j'aime bien John Cusack alors je me suis laissé aller avec plaisir.

Une bonne soirée de fin du monde

John

[opbilbo]

Un blu ray de qualité très moyenne pour un film totalement dispensable où l'on apprend rien de fondamental : bref, à éviter pour ces deux raisons.

Ma note : X

[vddan]

Vu Micmacs à tire-larigot / BLU-RAY non zoné
ANALYSE ET APPRECIATION : EXCELLENT !!!

L'UNIVERS Jeunet continu dans Micmacs ,pour mon plus grand plaisir,son univers coloré et gentiment barré avec comme toujours une inventivité réjouissante. De l'esthétique baroque aux jeux de caméra fluides,Jeunet nous fais voyager dans son PARIS de rêves,jamais aussi bien filmé que par lui..A la pléiade d'acteurs habituées à jouer pour lui s'ajoute un Dany BOON ,plutôt sobre dans sa façon de jouer, et tant mieux. Cette comédie burlesque ne s'essouffle pas un instant,les personnages ,la façon de filmer et de raconter son histoire tout concourt à rendre mon admiration pour Jeunet intacte.Un grand cinéaste parmit les grands !!!
Un petit mot sur le Blu-ray.....L'image est à tombée ,les bonus interressants et nombreux en HD......Un incontournable !!!

Fiche complète.............http://vddan.blog.sfr.fr/tests_de_films ... C3%A9.html

[max zorin]

Bah ce qui me fait un peut peur avec ce film, c'est le rôle principale tenu par Dany Boon...

[max zorin]

Vu hier soir:



Superbad/Supergrave de Greg Mottola, comédie 2008/USA, location DVD Z2

Trois adolescents veulent profiter de la dernière fête de l’année pour ne pas arriver puceaux à la fac.

Le résumé laisse deviner de quoi il s’agit dans ce film… de sexe, de cul, de pénis etc… Autant dire que ca vole pas haut. Pourtant, on ne peut pas retenir ses rires tant les trois personnages sont graves (le titre francais est adapté pour une fois), les dialogues ultra-vulgaires drôles et les situations totalement déjantées. A côté, American Pie a l’air d’un d’un teenmovie pour bonne famille! On s’ennuie pas une seconde et on constate à la fin que le film n’est peut-être pas si superficiel que ca: derrière cette vulgarité outrancière se cache un hymne à l’amitié très crédible. Excellents: le duo de flics immature et l'ado qui se fait passer pour un adulte répondant au non de McLovin, McLovin seulement!
Au final, cette production Judd Apatow n’est pas seulement une comédie ado trash mais aussi un feelgood movie. Une bonne surprise!

4/5

[vddan]

Bah ce qui me fait un peut peur avec ce film, c'est le rôle principale tenu par Dany Boon...

Tu peux y aller ,il est très bien dirigé par Jeunet,et donc très sobre et se glisse dans son univers facilement !!!


C'est sur que cela n'as rien a voir avec SUPER BAD ,que j'ais détesté!!

[tupeutla]

Je ne peux pas blairer l'"univers" sucré de Jeunet.
F'rait dégueuler un régiment de rats, c'gars-là !

[vddan]

Cela ne m'étonne pas!!

[le loup celeste]

Mensonges d'état ("Body of Lies") de Ridley Scott:

Recruté par la CIA pour traquer un terroriste basé en Jordanie, Roger Ferris devra s'assurer le soutien du très doué vétéran de la CIA Ed Hoffman et du chef des renseignements jordaniens, pour infiltrer le réseau...

Thriller politique sur le terrorisme au Moyen-Orient au scénario intelligent et à la mise en scène efficace qui, grâce à son sujet parfaitement maîtrisé, à son duo de choc (les talentueux Russel Crowe et Leonardi Di Caprio), à son rythme soutenu et à ses scènes d'actions vitaminées, n'est rien de moins qu'un grand film d'action doublé d'une très intéressante réflexion politique. "Mensonges d'état" est une grande surprise à ne surtout pas manquer.

*****

Critique complète...http://www.leloupceleste.fr/article-mensonges-d-etat-47097579.html

[SONTRACTEUR]

Mensonges d'état ("Body of Lies") de Ridley Scott:
"Mensonges d'état" est une grande surprise à ne surtout pas manquer.

J'y ai trouvé un côté très "gag" à ce film genre "la tête et les jambes". On a d'un côté le chef de service (Crowe) planqué derrière ses écrans et sa très haute technologie Made In USA en train de manigancer les stratagèmes les plus pourris "orientés résultats" et de l'autre côté un mec (Di Caprio) sur le terrain qui court partout et en tous sens en s'en prenant plein la gueule. Ce côté cartoon affaiblit un peu l'enjeu politique et dramatique. Mais mention spéciale à Marc Strong très convaincant en chef des services secrets jordaniens.