En diffusant "le plus bas possible" on est confronté à :
* la distance d'écoute minimale évoquée par Peter D'Antonio, ce qui rend la chose assez impraticable dans la plupart des auditoriums particuliers
dans quel livre ou papier, quelle page ?
En général, les distances minimales sont surtout établies parce que le calcul devient trop complexe à faible distance. De plus, on parle de distance minimale en considérant un diffuseur. Quand il y a plusieurs diffuseurs, cela devient bien plus compliqué, me semble-t-il. Parler de distance minimale reste-t-il alors valide ?
* la fréquence de coupure du diffuseur dans les hautes fréquences
en imaginant un diffuseur basé sur des fractales, il ne devrait pas y avoir de limite haute.
* le coût élevé de l'installation, financier et en terme de place perdue
C'est exact, mais pour l'instant ces considérations n'étaient pas évoquées
* l'interrogation qui reste : dans un petit local, doit-on diffuser dès la fréquence de Schroeder ?
Je n'ai pas de réponse vraiment fondée mais juste le sentiment qu'il est préférable de limiter la zone modale.
Mais comme tout le monde, je n'ai jamais pu comparer en commutation instantanée, un local diffusant bas et un local diffusant moins bas. Sans doute des outils d'auralisation adaptés permettront-ils de le faire plus facilement.